Friday, September 30, 2011

Bientôt immortels? : des chercheurs inversent le processus de vieillissement sur des cellules souches adultes.



Stopper le processus de vieillissement, c’est l’un des vieux fantasmes de l’espèce humaine. Cela voudrait dire qu’à partir d’un certain point on pourrait atteindre l’immortalité et la vie éternelle.


Mais inverser le processus du vieillissement biologique, c’est encore plus fort. Et c’est pourtant ce qu’ont réussi à faire des scientifiques du Buck Institute et de l’Institut de Technologie de Géorgie.

Le groupe de recherche a pu arrêter la dégénérescence de cellules souches adultes en leur permettant de se régénérer (donc de rajeunir).
Les cellules souches adultes jouent un rôle prépondérant dans l’organisme en remplaçant les tissus endommagés. Mais plus la personne vieillit, moins ces cellules de remplacement sont dans un état irréprochable.
En les rajeunissant, les chercheurs régleraient ainsi un problème de taille, permettant à l’être humain de vivre vraiment plus longtemps. Dans un premier temps il s’agirait de « réparer » les malades avec du tissu organique tout jeune, tout neuf. Dans un deuxième temps (dans 30, 50 ans ?) on pourrait possiblement appliquer le même processus sur des personnes en bonne santé mais qui commencent à vieillir. A partir d’un certain âge on pourrait décider « là j’arrête de vieillir »…
“We demonstrated that we were able to reverse the process of aging for human adult stem cells by intervening with the activity of non-protein coding RNAs originated from genomic regions once dismissed as non-functional ‘genomic junk’,” said Victoria Lunyak, Ph.D., associate professor at the Buck Institute for Research on Aging.
Concrètement, les applications reconstructives (pour le moment sur des tissus malades uniquement) pourraient avoir lieu pour réparer les muscles du coeur à la suite d’un infarctus, pour guérir plus rapidement des blessures, pour produire de l’insuline pour les patients atteints de diabète de type 1, pour regénérer des os fragilisés, pour soigner l’arthrite et l’ostéoporose, etc.

Source: vincentabry.com

Saturday, September 17, 2011

La planète aux deux soleils de Star Wars découverte.



Les astronomes américains ont découvert une planète à deux soleils comme celle de Luke Skywalker dans "La guerre des étoiles". 

C'est une première dans les annales de l'astronomie. Georges Lucas avait vu juste. Cette exoplanète (planète hors du système solaire), qui tourne autour de deux soleils et qui connaît donc deux couchers et deux levers de soleil a été baptisée Kepler-16b. Elle se situe à environ 200 années lumière de la Terre. Une année lumière équivaut à 9.500 milliards de kilomètres. 
Jusqu'alors une telle planète dite circumbinaire n'existait que dans l'univers de l'épopée cinématographique de science-fiction "La guerre des Etoiles" avec la planète Tatooine, recouverte de déserts arides et peuplée de quelques espèces indigènes comme les Hommes des sables. Mais contrairement à cette dernière, Kepler-16b, est froide et gazeuse. Les astronomes excluent la possibilité que la vie puisse y exister. 
Une taille et une masse similaire à Saturne
"Kepler-16b est le premier exemple de planète circumbinaire dont l'existence est confirmée" affirme Josh Carter, un astronome duHarvard-Smithsonian Center for Astrophysics, un des auteurs de cette découverte. Il ajoute: "Une fois de plus, nous découvrons que notre système solaire n'est qu'un exemple parmi la diversité des systèmes planétaires que la nature peut créer". 
Cette étude parue dans la revue américaine Science datée du 15 septembre, fait aussi l'objet d'une présentation jeudi à la conférence "Extreme Solar Systems II" à Jackson Hole dans le Wyoming (Etats-Unis). 
Kepler-16b a une masse d'environ un tiers de celle de Jupiter et un rayon correspondant à 75% de celui de cette planète, la plus grande de notre système solaire. Kepler-16b a une taille et une masse similaire à Saturne. 
Deux étoiles plus petites que notre Soleil
Elle orbite autour de ses deux soleils en 229 jours, à une distance moyenne de 104,6 millions de kilomètres. Ces deux étoiles sont plus petites et moins chaudes que notre Soleil faisant que Kepler-16b est assez froide avec des températures en surface variant de -73°C à -101°C. 
Cette découverte a été faite avec le télescope américain Kepler. La présence d'une planète est détectée quand celle-ci passe devant son étoile et en réduit momentanément la luminosité. Mais dans le cas de Kepler-16b cette observation a été rendue compliquée par le fait que les deux étoiles s'éclipsent mutuellement, provoquant périodiquement une réduction totale de la luminosité. 
Les astronomes ont aussi observé que la luminosité diminuait également à des intervalles réguliers même quand les deux étoiles ne formaient pas d'éclipse, indiquant la présence d'un troisième objet tournant autour d'elles. 
Ces scientifiques ont aussi déterminé que les deux étoiles orbitaient chacune d'elle en 41 jours à une distance de 33,8 millions de km. 
Inauguré en 2009 par la Nasa, le télescope Kepler doit scruter pendant au moins 3 ans et demi plus de 100.000 étoiles situées dans les constellations du Cygne et de la Lyre et ressemblant à notre Soleil. Il a pour mission de rechercher des planètes qui, comme la Terre, pourraient abriter la vie dans notre galaxie, la Voie Lactée. 

Source: lexpress.fr

Étranges Lumières dans le Ciel Américain, Denver 12/09.

Thursday, September 15, 2011

Découverte d'une guêpe monstrueuse en Indonésie!.



Une nouvelle sorte de guêpe, impressionnante et jusqu’alors inconnue, est étudiée en ce moment au Musée d’Histoire Naturelle de Berlin. D’un noir intense, dotée de mandibules gigantesques et d’un corps surdimensionné, cette dernière ressemble davantage à une machine de guerre qu’à un insecte.
Cinq fois plus grosse que les guêpes habituellement observées autour des sucrières posées sur les cafés-terrasses berlinois, cet insecte a été capturé récemment sur l’île de Sulawesi en Indonésie par le professeur Lynn Kimsey de l’Université de Californie. Baptisée « Garuda », comme le symbole national indonésien d’un guerrier ailé, elle est actuellement étudiée dans les moindres détails par les deux spécialistes des guêpes, l’entomologiste Michael Ohl et Lynn Kimsey. La Garuda fait désormais partie des 10 000 autres genres de guêpes déjà répertoriées.
Ses 6 cm de longueur en moyenne comparés aux 15 mm réglementaires et sa couleur noire d’encre, font d’elle une espèce « imposante et troublante« , comme le déclare Michael Ohl.
Un point reste pour le moins à préciser : le comportement de l’insecte est mal connu, pour cause ce dernier n’a pas été étudié en milieu naturel. Il est cependant fort probable que la taille gigantesque des mandibules joue un rôle prépondérant dans sa capacité à se défendre et l’aiguillon relié à une glande à venin à l’extrémité de son abdomen bien plus développé chez la Garuda, que chez aucune autre guêpe peut certainement infliger des morsures et déchirures extrêmement douloureuses.
Cependant, il est intéressant de noter que seules les guêpes femelles, les ouvrières, ont la possibilité de paralyser leur ennemi par piqure grâce au venin de leur dard. Les mâles, quant à eux, pourraient utiliser leurs mandibules pour se défendre ou s’accoupler.

Source: notre-planete.info

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