Sunday, March 31, 2013

Si un gros astéroïde s'approche de la Terre, priez dit la NASA




Un astéroïde qui s'écrase sur la Terre ? Les chances sont minimes mais l'actualité récente n'est pas faite pour nous rassurer. Et la Nasa assure que si on coupe encore dans son budget, l'humanité ne sera pas capable de repérer un astéroïde qui se dirige vers notre planète.

Devant la Chambre des représentants des États-Unis, le patron de la Nasa, Charles Bolden, a expliqué que les estimations de l'agence spatiale américaine montrent qu'il faudra "attendre 2030 avant qu'on puisse couvrir 90 % du ciel, comme recommandé par le Congrès. Vous nous avez tous dit de faire quelque chose, et entre l'administration et le Congrès, on n'a finalement pas eu les financements prévus...", rapporte le site Space.com.

"Si ça arrive dans les trois prochaines semaines, priez. Parce que je ne peux rien faire à cause des décennies durant lesquelles on a repoussé" le projet.

John Holdren, conseiller scientifique de la Maison Blanche, explique de son côté que les chances qu'un gros astéroïde s'écrase sur la Terre est "très faible", il pense que le risque d'extinction de l'espèce humaine qui en découlerait nous force à prendre le sujet "au sérieux".



Source: http://fr.sott.net

Des « aliens » dans le lac sous-glaciaire de l’Antarctique ?




Les chercheurs ont découvert que lac Vostok s’est retrouvé dans la zone d’activité sismique, et suite au séisme, des organismes précédemment inconnus ont pénétré dans l’eau. Ces créatures se sont développées à l’intérieur, et leur constitution est différente des microorganismes sur Terre.

S’agit-il du sujet d’un nouveau film hollywoodien ou d’une réalité effrayante ? Les chercheurs de Saint-Pétersbourg ont trouvé la vie extraterrestre sur l’Antarctide. Les généticiens de l’Institut de physique nucléaire affirment que les microorganismes du lac sous-glaciaire Vostok ne correspondent à aucune espèce de bactéries connues. Leur ADN correspond à moins de 86% avec les espèces connues des bactéries. Le chef de l’expédition vers l’Arctique et l’Antarctique Valéry Loukine parle d’un ADN inconnu dans l’interview accordée à La Voix de la Russie.

« Pour l’instant, nous avons découvert l’ADN de cette bactérie. Les recherches préliminaires n’ont révélé aucune information sur la physiologie de ces organismes, et les conditions sur leur milieu de vie. Nous n’avons pas encore ces données. Nous avons juste prélevé des échantillons. Ils font partie intégrante de l’environnement. Pour le reste, nous ne connaissons rien de ces organismes ».

Pour obtenir de plus amples renseignements, les scientifiques ont besoin de poursuivre les recherches. Le plus souvent, c’est l’utilisation des méthodes de microbiologie classique, les méthodes de culture des échantillons des milieux de culture pour une étude plus approfondie des organismes « étrangers ». Mais dès maintenant, les chercheurs peuvent affirmer : ces organismes ne présentent pas de danger pour l’homme.

« Cet organisme vit dans un environnement unique qu’on ne rencontre nul part ailleurs, outre le lac Vostok. Une fois montés à la surface, ces organismes meurent, car ils ne sont pas adaptés à la vie dans d’autres milieux que ce lac. C’est pourquoi ces organismes ne présentent pas de menaces à l’humanité ».

Le scénario du film d’horreur dans la vie réelle ne présente pas un risque à l’humanité. Cependant, il n’est pas exclu que d’autres espèces d’organismes inconnus se trouvent sous la calotte de glace. Vostok – c’est un écosystème unique isolé complètement de l’atmosphère, un analogue des océans sous-glaciaires trouvés sur les satellites de Jupiter et de Saturne. La découverte des nouvelles espèces de bactéries nous permettrait d’en savoir plus sur l’évolution et le changement climatique.

Le forage de glace qui recouvre le lac Antarctique se poursuite depuis 30 ans. Mais ce n’est que l’année dernière que les chercheurs ont réussi à atteindre sa surface. A l’Académie des sciences, cet événement est comparable avec l’atterrissage sur Mars. Pendant plusieurs millions d’années, le lac fut entièrement isolé de la surface terrestre. Personne ne sait d’où viennent les microorganismes qui y vivent. Même s’il s’agit des bactéries, leur étude pourrait devenir une percée scientifique. En outre, grâce aux techniques qui sont utilisées pour identifier ces organismes, les chercheurs peuvent créer une méthode de recherche des formes de vie étrangère.


Source:   http://ufoetscience.wordpress.com

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